La décentralisation de cette technologie peut-elle remettre en cause le rôle habituel des tiers de confiance ?
Tandis que la blockchain peut être brièvement définie par une technologie de stockage et de transmission d’informations (un protocole de gestion de données numériques), il s’agit de considérer trois points disruptifs :
– Transparente : chacun peut consulter l’ensemble des échanges, présents et passés.
– Sans organe de contrôle ni tiers de confiance : elle est fondée sur des échanges de pair-à-pair (P2P).
– Infalsifiable et sécurisée : contrairement aux bases de données plus classiques, elle est « distribuée ». C’est-à-dire que différents exemplaires existent simultanément sur différents ordinateurs baptisés « nœuds » du réseau. De quoi éviter que la blockchain puisse être théoriquement hackée. Alors, dès lors que ses applications se multiplient, on se rend compte qu’elle pose de multiples problèmes, technique, sociaux, sociétaux et juridiques.
file:///C:/Users/web.user/Downloads/20171121%20invit%20avec%20intervenants.pdf– Transparente : chacun peut consulter l’ensemble des échanges, présents et passés.
– Sans organe de contrôle ni tiers de confiance : elle est fondée sur des échanges de pair-à-pair (P2P).
– Infalsifiable et sécurisée : contrairement aux bases de données plus classiques, elle est « distribuée ». C’est-à-dire que différents exemplaires existent simultanément sur différents ordinateurs baptisés « nœuds » du réseau. De quoi éviter que la blockchain puisse être théoriquement hackée. Alors, dès lors que ses applications se multiplient, on se rend compte qu’elle pose de multiples problèmes, technique, sociaux, sociétaux et juridiques.
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