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dimanche 25 février 2018

Appel à projets de Free electrons


We at Beta-i wanted to let you know about Free Electrons, the startup program formed by a global alliance of energy utilities.
This program’s edition is focusing on top startups who have solutions in mobility, clean and smart energy and digitalization and is an opportunity for later stage energy startups to gain access to utility customers that can help them scale and expand into new markets around the world.
You can find all the program’s information here and apply here by February 28.



www.freetheelectron.com


 
http://beta-i.pt/?utm_campaign=FE18&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=60847024&_hsenc=p2ANqtz--U-eNfx3W0ekkZncUBs1ZtipjKST5An73TgibZcrryDlEoQtHejqn4vBmTM_nGUyfjWdaJy4I5kkeTyMZlYhRMgGe2Bw&_hsmi=60847024

vendredi 23 février 2018

Monter votre projet innovant avec une entreprise Coréenne



DESTINATION COREE DU SUD 

Monter votre projet innovant avec une entreprise Coréenne


Au Programme

  • Une introduction au marché coréen par Jérôme Chalansonnet, co-fondateur de Coali, une agence de conseil basée à Seoul et spécialisée dans l’innovation et les relations commerciales euro-coréennes.
  • Une présentation de la collaboration franco-coréenne et de l’appel à projets Bpifrance x KIAT par l’équipe Programmes Internationaux Innovation (P2I)
  • Un retour d’expérience d’une entreprise française ayant participé à l’appel à projets en 2014. 

Quand ? 

Le mercredi 28 février 2018 à 11h00 CET

Besoin de plus d’informations ?
Contact : Amina Zakhnouf
tél : 0153897722 – mobile : 0663112122

Contact : Mael M’baye
Tél : 0153897874 – mobile : 0689308791

jeudi 22 février 2018

1er Appel à Projet ReIndustry 2018


Un programme de 12 mois, dédié aux start-ups qui proposent une technologie innovante en lien avec : la logistique, la robotique, la cobotique, l’Internet des Objets (IoT), la cybersécurité, la réalité augmentée ou la réalité virtuelle, la localisation ou la géolocalisation, la maintenance prédictive ou l’analyse des process industriel.

    VOUS AVEZ développé une solution logicielle innovante ?

    VOUS CIBLEZ l’Industrie, l’Energie, les Transports ou l’Aéronautique ?
     

    ReIndustry, un triptyque technologique, stratégique et business
    pour accélérer votre croissance !

    19 mars : Clôture des candidatures
    Du 19 au 30 mars : Entretiens individuels avec les dirigeants pour valider le projet de développement
    10 avril (matin) : Comité de sélection
      Candidatez !
      Avec ReIndustry, vous
      • validerez l’adéquation de votre technologie aux enjeux industriels
      • définirez votre stratégie d’accès au marché
      • accélérerez votre activité commerciale auprès de clients industriels
      • élargirez votre réseau d’influence, grâce aux partenaires sponsors
      Pour tous renseignements : isabelle.veil@systematic-paris-region.org
       

      mercredi 21 février 2018

      Appel à innovation pour Disneyland Paris


      Transformer l'expérience des visiteurs
      en boutique

      Clôture : 2 mars à 18h
      LE GROUPE
      Téléchargez les images - 2
      L’innovation et la créativité sont au cœur de l’héritage de Walt Disney, c’est pourquoi Disneyland Paris lance son programme d’Open Innovation permettant de favoriser la collaboration avec les porteurs de projets innovants.


      En tant que 1ère destination touristique d’Europe, nous souhaitons continuellement améliorer l’expérience d’achat dans nos 60 boutiques thémées.
      Récemment une boutique Star Wars a vu le jour, prolongeant l’immersion à la sortie de l’attraction « Star tours ». Nos visiteurs peuvent par exemple créer leur propre droïde miniature dans un décor de garage de vaisseaux spatiaux.
      THEMATIQUES
      Aujourd'hui Disneyland Paris cherche à

      • Utiliser des technologies immersives pour proposer des expériences uniques dans nos boutiques (Plafonds et vitrines animées, mobilier connecté, mapping…)
         
      • Personnaliser l’accueil et la relation avec les visiteurs, notamment avec les enfants
         
      • Vendre en boutique des objets connectés permettant à nos visiteurs d’interagir dans le parc, les files d’attente et les boutiques
         
      • Proposer des solutions pour améliorer l’expérience photo
         
      • Faciliter l’acte d’achat via le paiement de proximité
         
      • S’inspirer des scènes cultes de Walt Disney dans la création des expériences immersives

      Si vous êtes une start-up ayant développé et commercialisé un produit répondant à l’un ou plusieurs des critères ci-dessus, faites-vous connaitre en complétant le formulaire en ligne avant le 2 mars à 18h00.
      INSCRIPTION & CALENDRIER
      • 2 mars 18h : Clôture de l'appel à candidatures
      • 22 mars matin : Pitch session pour les startups retenues dans les locaux de Disneyland Paris

      lundi 19 février 2018

      Appel à innovation pour Gecina


       
       
      Nouveaux usages ; nouveaux services
      en sous-sol d'immeubles
       
      Clôture : 15 mars
       
      LE GROUPE
      Gecina détient, gère et développe un patrimoine immobilier de 19,5 milliards d’euros à fin août situé à près de 92% en Ile-de-France.
      La foncière oriente son activité autour du premier patrimoine de bureaux de France et d’un pôle de diversification composé d’actifs résidentiels et de résidences étudiants.
      Gecina a inscrit l’innovation durable au coeur de sa stratégie pour créer de la valeur, anticiper les attentes de ses clients et investir en respectant l’environnement grâce à l’implication et l’expertise de ses collaborateurs.
      CONTEXTE
      Gecina a constaté depuis plusieurs années une réelle évolution des modes de travail et de management, qui impacte directement la façon de concevoir les espaces de travail et donc d’imaginer des immeubles de bureaux. L’enjeu pour Gecina est de savoir anticiper et réinventer en permanence l’immeuble de demain, dans sa conception et son intégration dans son environnement direct mais aussi et surtout dans ses usages. Flexibilité, valorisation originale et innovante d’espaces vacants, mutualisation et partage des espaces, mixité des usages…
       
      Cet appel à projets porte spécifiquement sur le devenir des sous-sols des immeubles de Gecina. Compte tenu des grandes évolutions sociétales et technologiques qui remodèlent la ville (diminution du trafic, nouveaux usages…) de nombreux espaces situés en sous-sol voient leurs usages tendre vers une forme d’obsolescence fonctionnelle : les parkings, locaux d’archivage ou autres locaux techniques.
      Peuvent-ils muter pour accueillir de nouveaux usages urbains ? Quel peut-être le modèle de valorisation de ces emplacements localisés dans des quartiers d’affaires.
      C’est bien là tout l’enjeu de cet appel à projets.
      THEMATIQUES
      Dans le cadre de nos projets en développement pour notre activité bureaux, quatre grandes thématiques ont été définies avec des sous-thèmes pouvant faire l’objet de projets spécifiques :

      1. Bien-être, sport
      • Proposer des espaces de bien-être en sortie de bureau
      • Développer l’offre d’équipements sportifs en milieu urbain
      2. Mobilité
      • Favoriser le transport doux par un valet-parking pour vélos
      • Optimiser l’espace de stationnement automobile
      • Développer l’éco-stationnement
      • Automatiser le stationnement
      3. Développement durable
      • Réduire le circuit de distribution des produits agricoles (Agriculture urbaine)
      • Construire un parc végétalisé urbain
      • Favoriser le recyclage par un centre de valorisation (Déchetterie souterraine)
      • Installer des centres de logistique en centre-ville (Logistique du dernier kilomètre)
      • Exploiter la fraicheur des sols pour des datacenter
      4. Loisirs
      • Imaginer des salles de concert insolites ou des boites de nuit
      • Développer l’offre culturelle de proximité
      • Développer des espaces de e-sport/gaming
      • Créer des lieux de restauration alternatifs/concept store
      Autre :
      • Proposer une offre d’hébergement originale
      INSCRIPTION & CALENDRIER
      • 15 mars : Clôture de l'appel à candidatures
      • Courant mars : Analyse et sélection des projets par Gecina
      • Début avril : Rencontre des start-ups 
       

      dimanche 18 février 2018

      Bpifrance et NEDO soutiennet des projets industriels innovants


      Bpifrance et NEDO (New Energy and Industrial Technology Development Organization) collaborent depuis 2014 pour soutenir les projets bilatéraux innovants et focalisés sur la R&D. Grâce à ce partenariat, de nombreux projets ont été financés et accompagnés par les deux institutions, soutenant ainsi les collaborations technologiques bilatérales, et contribuant à la création d’un tissu entrepreneurial solide et intégré dans les nouvelles industriesLe saviez-vous ?

      Vous souhaitez accéder aux marchés asiatiques et avez l’opportunité de développer une nouvelle offre en collaboration avec un partenaire japonais ? Répondez à l’appel à projets Bpifrance/NEDO avant le 31 mars 2018 !

      mardi 6 février 2018

      Salon virtuel des PME


      Salon SME online
      L’essentiel d’un salon sans quitter votre bureau :
      Informez-vous grâce aux conférences et webinars live en accès libre
      Posez vos questions aux meilleurs experts de l’entrepreneuriat,par messagerie instantanée ou skype, et obtenez des réponses personnalisées en direct,
      En quelques clics, faites le plein de solutions nouvelles et de conseils pour créer, gérer et développer votre entreprise.
      DEMANDEZ VOTRE INVITATION GRATUITE

      Rejoignez le lab du PMU pour VivaTech 2018


      Le PMU cherche à trouver les startups qui dessineront l’expérience pari de demain ! Pour cela, il s’intéresse aux solutions appliquées aux nouveaux canaux de distribution, aux nouvelles technologies (FinTech, blockchain, data), ainsi qu'aux nouvelles formes et contextes de paris. Proposez votre solution pour tenter de remporter :

       1 stand sur le Lab PMU

       4 pass Vivatech (valeur : 245€/pass)

       Temps de pitch sur l’un des plus grands Labs du salon devant les visiteurs, les startups et autres participants de l’événement

       1 POC d'une valeur de 35k€ dans le cadre d’une collaboration mentorée par PMU à gagner à l'issue du challenge 

      Je participe !

      lundi 5 février 2018

      L'invention populaire des sciences


      L’histoire des sciences a ignoré l’immense contribution que les gens du peuple ont apportée à la construction des savoirs scientifiques. Clifford D. Conner leur rend hommage dans ce livre qui oppose – de façon parfois caricaturale – les élites savantes aux humbles artisans du savoir.
      Cette histoire populaire n’est pas une histoire « pour le peuple », vulgarisée. C’est une histoire de la science faite par le peuple. Clifford D. Conner s’est donné pour mission de mettre en lumière le rôle ignoré des artisans, des géomètres ou des marchands dans la construction des savoirs pratiques qui sont à la base de l’essor des sciences. Sans bergers ou marins scrutant le ciel, repérant les étoiles et leurs mouvements pour les guider dans leurs longs trajets, l’astronomie n’aurait pas existé. Sans le travail des forgerons, des parfumeurs ou des fabricants de porcelaine, le savoir chimique n’aurait pas pris corps. Sans les arpenteurs, les maçons et les ingénieurs, la physique n’aurait pas pu voir le jour.
      C.D. Conner a lui-même exercé de nombreux petits métiers avant de devenir historien des sciences. Son histoire s’inspire directement d’Une histoire populaire des États-Unis d’Amérique. De 1492 à nos jours d’Howard Zinn (Agone, 2002), une histoire des Indiens, des esclaves, des ouvriers, qui ont autant participé à la construction de l’Amérique que ses élites. Cette histoire des sciences s’apparente aussi au grand mouvement de l’histoire « vue d’en bas » telle qu’elle s’est développée ces deux dernières décennies avec l’histoire des femmes, celle des minorités et des peuples dominés (subaltern studies), dont les histoires académiques avaient longtemps occulté le rôle.
      En huit grandes parties, ce livre ne propose rien de moins que de couvrir tout le champ de l’histoire humaine. La première partie rend hommage aux savoirs accumulés dès la préhistoire par les chasseurs-cueilleurs. Longtemps, la pensée des « primitifs » a été assimilée à une pensée mythique noyée dans les superstitions. L’essor des ethnosciences depuis les années 1960 a fait un sort à cette représentation. Les derniers Aborigènes d’Australie, Inuits ou Bushmen, qui ont vécu selon le mode de vie des chasseurs-cueilleurs, étaient de fins observateurs qui avaient des connaissances précises sur les centaines d’espèces de plantes et d’animaux qui les entouraient. Ils ont établi des classifications sophistiquées qui reprennent les mêmes principes que les classifications scientifiques : organisées en classes générales (poissons, oiseaux, insectes), puis en familles et en espèces. Sans ce type de connaissances, accumulées par toutes les populations de la planète, il n’y aurait jamais eu de botanique, de zoologie. Ce sont les chasseurs, les agriculteurs et les pêcheurs qui ont servi d’informateurs aux premiers encyclopédistes de la nature.
      On sait aussi aujourd’hui combien les pratiques médicinales des peuples traditionnels sont loin de se réduire aux pratiques magiques. La pharmacopée des peuples amérindiens et la connaissance des propriétés des plantes sont d’une extraordinaire diversité. Ce sont eux qui ont su extraire le curare des plantes ou utiliser la quinine. Voilà d’ailleurs pourquoi les entreprises pharmaceutiques se sont intéressées de près à ces savoirs traditionnels pour tenter d’en récupérer les bénéfices.
      Après avoir réhabilité ces savoirs traditionnels, C.D. Conner s’en prend à l’idée du « miracle grec » qui émerge au ve siècle avant J.‑C. d’un monde englué jusque-là dans l’irrationalité. Tout à coup, une petite élite intellectuelle de philosophes, de géomètres et de médecins aurait inventé les mathématiques, la science, la raison, l’histoire, la médecine. Les historiens ont là aussi fait un sort à cette idée. On admet maintenant que les Pythagore ou Hippocrate ne sont que des labels. Leur nom désigne en fait une école de pensée et, derrière cette école, les milliers d’inconnus qui les ont précédés et fournis en matériaux de base.
      Cette notion de « miracle grec » cache aussi ce que les Grecs devaient aux Égyptiens, aux Mésopotamiens, aux Phéniciens à qui ils ont beaucoup emprunté. C.D. Conner va même plus loin, en opposant l’élite aristocratique grecque – les Platon, Aristote et leurs épigones – qui a développé une conception du savoir noble, abstrait et improductif, à une culture matérielle et technique qui a pourtant été à la base de leur savoir. La géométrie et les mathématiques ne sont pas des inventions de philosophes oisifs réfléchissant aux nombres et aux formes de la nature à l’ombre d’un olivier. Elles proviennent des arpenteurs et des marchands qui avaient besoin de mesurer les terrains pour les partager, de commerçants qui avaient besoin de négocier, de calculer le prix des choses et le convertir d’une monnaie à l’autre.
      Quand il aborde les sciences classiques, on retrouve le même schéma explicatif. L’auteur s’en prend à un mythe : celui d’une révolution scientifique, portée par les mathématiques (la mathématisation de la nature) et à ne mettre au crédit que de quelques grands noms (Galilée, Johannes Kepler, Isaac Newton) ayant forgé une nouvelle vision du monde fondée sur la mathématisation de la nature. Cette vision – largement développée, notamment par Alexandre Koyré, dans les années 1930 – a été fortement contestée depuis les années 1960. Elle ignore qu’une autre révolution parallèle a eu lieu dans les sciences expérimentales et naturelles. Cette révolution de la science classique doit donc surtout à l’expérimentation et non aux mathématiques abstraites. Elle est, selon C.D. Conner, autant le fait d’artisans que de savants en chambre. Les mathématiques dont A. Koyré a fait le moteur de cette révolution classique se sont développées dans le monde des marchands. Son application des mathématiques au monde physique est autant un problème d’ingénieurs construisant des ponts, des machines, des bateaux que de clercs isolés dans leur tour d’ivoire universitaire. La biographie d’un Galilée montre combien le savant était proche des ingénieurs qui bâtissaient des machines, des ponts, des bateaux et des architectes anonymes qui construisaient les palais.
      On l’a compris, D.C. Conner propose une contre-histoire des sciences fondée sur l’existence d’un savoir technique et pratique réalisé par des millions d’inconnus ; une histoire qui s’oppose à une vision des sciences réduite à quelques grands hommes forgeant dans leur hautaine solitude des connaissances abstraites et désincarnées.
      Au fil des pages cependant, les faiblesses de cette grille de lecture apparaissent au grand jour. Certes, le miracle grec est un mythe aujourd’hui admis par la communauté des historiens et la Grèce doit beaucoup aux savoirs acquis par d’autres civilisations. Mais, en Mésopotamie ou en Égypte, l’écriture n’a pas été inventée par le peuple : elle était l’apanage de scribes et de lettrés qui travaillaient pour les besoins d’une élite dirigeante. L’écriture est fille de l’administration, de la codification des lois, des contacts entre puissances, des inscriptions royales et non d’humbles artisans ou paysans. De même, les mathématiques sont reliées à l’essor des pratiques commerciales, la géométrie trouve sa source dans une forme d’arpentage et d’administration des propriétés qui n’a rien de « populaire ». Thalès, l’un des pères des mathématiques grecques, était un riche marchand, membre de l’élite dirigeante de Ionie ayant beaucoup voyagé et spéculé sur les matières premières, et non un humble commerçant membre de la plèbe.
      Plus tard, l’invention de l’algèbre par les Arabes n’est pas le produit des échanges au sein des souks : des calculs élémentaires suffisaient à cela. Elle fut engendrée par des lettrés proches des milieux marchands et membres d’institutions (comme la maison de la Sagesse de Bagdad) financées par les sultans.
      L’intérêt de cette histoire populaire racontée par C.D. Conner est de réhabiliter les bases des connaissances sur lesquelles se sont échafaudées les sciences, mais son parti pris militant qui consiste à vouloir reconstruire l’histoire « par le bas » n’est pas très convaincant. Il achoppe à rendre compte de la complémentarité entre le travail des intellectuels et celui des artisans, du rôle des institutions de savoirs, de la guerre, des écoles, des centres et des bibliothèques créés par les puissants pour leur propre gloire, des transferts de savoir entre les connaissances utiles et la spéculation abstraite et désintéressée et des interactions entre le savoir des élites et celui du peuple.
      https://www.scienceshumaines.com/l-invention-populaire-des-sciences_fr_27045.html

      Appel à Candidatures - Rolling Lab 2018


      L’appel à candidatures s’adresse aux entreprises innovantes de moins de 5 ans :

      • en cours de développement ou ayant déjà finalisé une première offre produit / service et ayant validé son adéquation avec le marché, au travers d’une étude préalable ou auprès d’au moins un bêta testeur / client
      • à la recherche d’une offre globale en incubation incluant des postes de travail en open-space, un accompagnement individuel personnalisé, des animations spécifiques et un financement via Paris Innovation Amorçage, dispositif financier développé par la Ville de Paris et Bpifrance
      • développant des produits et services destinés aux secteurs de la logistique et/ou de la mobilité

      Logistique & Mobilité : Systèmes de livraison intelligents ; Traçabilité des véhicules et des livraisons ; Hubs intermodaux ; Nouveaux usages de stationnement ; Véhicules connectés et services associés ; Dispositifs de réduction des consommations d’énergie ; Routes intelligentes…
      Ces sujets, dans les domaines de la logistique et de la mobilité, vous parlent et vous développez des technologies et des services qui répondent à ces problématiques ?
      Le Rolling Lab, plateforme d’innovation de Paris&Co dédiée à la logistique et la mobilité lance son 3e appel à candidatures afin de recruter la promotion 2018 de son programme d’incubation, proposant ainsi un ensemble de services aux startups et aux entrepreneurs : accompagnement, coaching, accès à des financements, mise en relation, espace de conférence, espace de co-working, etc.
      https://candidatures.incubateurs.parisandco.com/fr/challenges/appel-a-candidatures-rolling-lab-2018?lang=fr

      LE SALON DE LA FORMATION ET DU DIGITAL LEARNING


      Aujourd’hui, l’offre en termes de formation explose et propose une palette de solutions de plus en plus diversifiées qui peuvent être utilisées de manière indépendantes ou couplées.

      Le défi reste toujours le même : placer l’humain (le collaborateur) au coeur de l’entreprise et des organisations, lui permettre - en apprenant – de s’épanouir et de contribuer encore plus efficacement à la performance globale.

      L’édition 2017 de Solutions Ressources Humaines /eLearning Expo aura été marquée par une très forte augmentation du nombre d’exposants (+ de 300 exposants) et surtout de la fréquentation (9.100 visiteurs professionnels). C’est le signe évident du dynamisme du salon et de la réponse qu’il apporte en tant que lieu d’échange, d’information et surtout en tant que générateur de contacts utiles et qualifiés.

      La French Tech, Station F, le Lab RH avec ses 400 membres (jeunes startups pour la plupart) et bien sûr l’ANDRH montre le dynamisme de la fonction.

      Pour cette 18° édition, notre volonté est de toujours maintenir le lien indispensable entre l’ensemble des acteurs de la profession.
      http://www.e-learning-expo.com/espace-exposant.php