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mercredi 26 octobre 2016

mardi 25 octobre 2016

vendredi 16 septembre 2016

Créer, bricoler, réparer : les mille vies de nos objets

logo Budget Participatif - Paris
Mairie de Paris
ThématiqueEconomie et emploi
LocalisationTout Paris
Coût6 000 000 €
L’idée : créer des lieux dédiés aux objets, ouverts à tous où l’on pourrait tour à tour : apprendre à réparer, fabriquer soi-même, s’équiper à bas coûts…plus largement : offrir une seconde vie aux objets, redonner vie à nos déchets et apprendre à consommer autrement. Cette proposition se décline autour de 3 pôles :
  1. Un pôle "pavillon rassembleur" qui regrouperait Ressourcerie, Atelier de bricolage, Repair café, Fab'lab et Allée écolo sous la forme de "pavillon circulaire" : ce lieu en autogestion serait mutualisé entre différentes associations
  2. Un espace de travail et de ressources pour les jeunes professionnels, et plus largement ouvert aux particuliers et aux étudiants, comprenant un espace de co-working et un espace de fabrication et de prototypage, équipé de machines comme une imprimante 3D ou une fraiseuse numérique.
  3. Un pôle "essaimé " qui regrouperait des boîtes et espaces de dons, etc. Ces lieux , gérés par des bénévoles, seraient libres d'accès et ouverts à toutes et à tous. Ce pôle essaimé permettrait d’assurer un maillage territorial fin pour faciliter les dons. Les parcs, rues piétonnes, zones de rencontre et tous les lieux où les piétons sont les bienvenus sont des lieux d’implantation à privilégier.
projet 13





mercredi 13 juillet 2016

Vers un changement de paradigme en économie ?



Vers un changement de paradigme en économie ?

A propos de : André Orléan, L’empire de la valeur. Refonder l’économie, Seuil

...., le livre est organisé en trois parties qui consistent à mettre en œuvre ce changement de perspective sur la valeur à trois niveaux du fonctionnement de l’économie : la définition de la rareté, l’institution de la monnaie et le fonctionnement des marchés financiers. André Orléan se livre à une déconstruction précise du paradigme substantialiste. Si la science économique n’est pas présentée de manière caricaturale comme constituée d’un seul bloc, c’est toutefois bien la même perspective qui se trouve identifiée à travers différents développements. Pour autant, l’auteur ne rejette pas complètement le modèle néoclassique mais il s’applique à délimiter le domaine de validité de ce cadre d’analyse : ce modèle décrit correctement le fonctionnement de l’économie sous certaines conditions ramenées au nombre de quatre : « un ensemble de biens connus de tous les acteurs ; une représentation commune de l’incertitude ; une reconnaissance collective de ce qu’est le mécanisme de prix ; l’adoption par tous les acteurs d’une conception strictement utilitaire des biens marchands » (p. 106). Le changement de ces conditions appelle un paradigme plus général susceptible d’englober le précédent.
Ce livre est également la somme des travaux menés depuis une trentaine d’années par l’auteur selon une trajectoire de recherche originale, approfondie et rectifiée à partir de relectures de classiques pour les sciences sociales et de collaborations étroites avec d’autres économistes critiques à l’égard de la théorie dominante. Le cœur de sa démarche trouve sa source dans l’analyse keynésienne du fonctionnement des marchés financiers [1]. En partant de l’absence de définition objective de la valeur a priori, elle consiste à mettre au jour une structure d’anticipation autoréférentielle et analyser la logique d’action mimétique qui en résulte (comme sur les marchés financiers où le cours des titres que cherchent à anticiper les intervenants dépend précisément de leurs anticipations). Cette synthèse ambitieuse arrive à point nommé au vu des crises conjointes de l’économie et de la science économique que nous traversons actuellement.


lundi 4 juillet 2016

Allianz France chasse les strrt-up avec son nouveau fonds d'investissement



Données prédicitives, blockchain, cybersécurité, RH…le secteur des assurances cristallise à lui tout seul la quasi totalité des grandes ruptures technologiques de ces cinq dernières années. C'est pour prendre une part plus active, et pour aller plus loin que des conseils pratiques aux start-up, que l'assureur Allianz, qui emploie 10 500 salairés en France, a annoncé la création d'un fonds d'investissement spécifique dédié à ces nouveaux modèles.
Signe qui ne trompe pas, la filiale du groupe allemand vient d'ailleurs de se doter d'une nouvelle directrice de la stratégie des projets innovants en la personne d'Anne-Sophie Grouchka, également directrice du service relations et solutions client. Chez Allianz, elle orchestre ainsi la partie visible de l'innovation, comme l'Allianz Riviera, l'accélérateur ouvert en 2015 à Nice qui propose un accompagnement de cinq mois, en partenariat avec bpifrance et Idinvest. Mais aussi désormais les investissements stratégiques, sur lesquels l'assureur ne s'étale pas sur les chiffres et sur ses cibles privilégiées.
«Nous voulons être en totale compréhension des tendances qui sont capables de menacer, ou compléter, nos modèles d'assurance», explique cette ancienne directrice de cabinets ministériels. Les possibilités de disruption de l'activité traditionnelle sont en effet nombreuses; tout comme les audits menés par la concurrence pour capter ces idées, tel le fonds Axa Strategic Ventures au niveau mondial. 

Read more at http://www.frenchweb.fr/allianz-france-chasse-les-start-up-avec-son-nouveau-fonds-dinvestissement/249736#LPR9Wa0KF7eriYw3.99

mercredi 22 juin 2016

dimanche 12 juin 2016

Congrès de l'IDRRIM 2016

Octobre 2016
Événements IDRRIM
Le 3ème Congrès de l'Institut des Routes, des Rues et des Infrastructures pour la Mobilité (IDRRIM) se tiendra du 14 au 15 juin 2016 à Paris-Expo, Porte de Versailles.

Il se déroulera en partenariat avec le salonINTEROUTE&VILLE qui accueillera pour sa 7ème édition du 14 au 16 juin, l'ensemble des acteurs de la communauté routière : maîtrise d'œuvre et maîtrise d'ouvrage à la rencontre des fournisseurs d'équipements, de matériaux et savoir-faire pour concevoir, construire, exploiter et entretenir les infrastructures routières et multimodales.
6 000 décideurs, acheteurs et prescripteurs sont attendus pour cette prochaine édition.

Parallèlement à ces deux évènements, se tiendra sur le même site, Transports Publics 2016, le Salon européen de la mobilité, rendez-vous incontournable de tous les acteurs du transport public et de la mobilité durable en Europe. Plus de 10 000 participants hautement qualifiés s'y retrouvent pendant trois jours pour partager leurs savoir-faire et échanger autour des dernières innovations.

Pour la première fois, le Congrès de l'IDRRIM aura lieu à Paris. L'attractivité mondiale de la ville et de sa région, son positionnement au cœur de l'Europe, et les enjeux du Grand Paris, donneront au Congrès 2016 une place stratégique et idéale pour servir le développement et la valorisation du patrimoine routier européen.

mercredi 1 juin 2016

Les « FinTech » : ces start-ups qui veulent bousculer les banques




Les grandes opérations se multiplient dans les FinTech. Yodlee, une société américaine fondée en 1999, qui développe une solution d’agrégation des données bancaires – 40 millions de personnes utiliseraient ses solutions dans le monde – espère lever 75 millions de dollars en s’introduisant en Bourse (mise à jour : 500 millions de dollars selon le document remis à la SEC en août, ndlr). Lending Club, une plate-forme de prêts entre particuliers fondée par le Français Renaud Laplanche, est déjà valorisée plus de 1,5 milliard de dollars et va aussi se lancer dans une IPO. Toutes ces entreprises ont un point commun : la volonté de bousculer le secteur bancaire et financier à coup d’innovations technologiques ou d’usage.
Les plates-formes de financement participatif ne cessent de faire parler d’elles. Elles permettent aux start-ups de récolter des fonds pour démarrer tout en se faisant connaître du public qui a décidé d’y investir, ou d’offrir un don avec contrepartie. Deux pépites françaises – Squadrone System et Giroptic – ont récemment affolé les compteurs sur Kickstarter en récolant plus de 1 million de dollars chacune, alors qu’elles n’en demandaient initialement que… 50 000 ou 150 000 dollars. Mais les innovations dépassent le seul cadre des crowdfunders.
Concrètement, les FinTech, ce sont les technologies associées aux services financiers, qu’elles soient à destination des particuliers (B to C) ou des entreprises (B to B). Une vaste notion qui regroupe des firmes ou des start-ups de toutes tailles avec des projets aussi différents les uns que les autres.
Plus d'info : http://www.frenchweb.fr/les-fintech-ces-start-ups-qui-veulent-bousculer-les-banques/159580

mardi 31 mai 2016

Développons la boutique sans argent


Soutenez La Boutique sans argent, un projet associatif audacieux pour un projet de société généreux !


La Boutique sans argent, c'est quoi ?

Un lieu de don ouvert à tous pour le réemploi des objets et la solidarité entre concitoyens


La Boutique sans argent est une association créée en 2013 pour promouvoir une autre conception de l’économie. Elle porte le projet d'un « magasin gratuit », c'est-à-dire un lieu de don collaboratif où vous pouvez venir déposer des objets dont vous n'avez plus l'usage pour leur donner une nouvelle vie et récupérer les objets donnés par d'autres que vous souhaiteriez utiliser. Tout cela sans transaction d'argent ni troc et quelle que soit votre situation. Depuis juin 2015, le projet s'est installé dans l'ancienne gare de Reuilly, dans le 12eme arrondissement de Paris. En six mois vous l'avez plébiscité : 21 000 personnes ont fait circulé 86 000 objets et ont ainsi participé à la promotion concrète de la gratuité, de l’écocitoyenneté et de la solidarité.

Afin de poursuivre et amplifier ce combat pour une société où la valeur des choses ne se mesure pas uniquement à l’aune de leur potentiel financier, nous avons besoin de vous. Chacun à votre mesure, pour montrer que ce projet et les valeurs qu'il incarne nous tiennent à cœur. Que le changement de modèle est à portée de main grâce au développement et à l'essaimage d'initiatives locales positives et responsables.
Plus d'info

dimanche 29 mai 2016

Les femmes ont de plus en plus envie d'entreprendre

49% des femmes jugent l'entrepreneuriat comme une occasion de conquérir plus de liberté.
49% des femmes jugent l'entrepreneuriat comme une occasion de conquérir plus de liberté.
49% des femmes jugent l'entrepreneuriat comme une occasion de conquérir plus de liberté.
 
DenisIsmagilov

Selon une étude publiée lundi 23 mai, une femme sur deux crée son entreprise pour gagner en liberté dans sa vie professionnelle. 42% voient même l'entrepreneuriat comme un chemin vers l'épanouissement.

Plus d'info sur L'Express / L'Entreprise 

vendredi 27 mai 2016

Specktr : After Maker faire Paris

Specktr

One midi controller to rule them all !


Gant Specktr Specktr est un contrôleur midi sans fil basé sur un gant permettant une intuitivité et une expression inégalée, tout en apportant une interaction visuelle en performance live révolutionnaire. Entièrement paramétrable et conçu pour les musiciens il possède des caractéristiques uniques.

http://specktr.com/

dimanche 22 mai 2016

La cité de l'innovation solidaire et du développement durable

Utile, pratique, bon marché, de qualité

 

Inventer une autre manière de vivre ensemble

Expérimenter concrètement avec des volontaires

Accroître la culture de la concertation, et de l'accord .


 

Nous pensons  le futur , c'est-à-dire, nous créons un marché alternatif pour réduire les inégalités,  la pollution,  la malbouffe, etc... Cela est possible en produisant mieux tout en maîtrisant les coûts. Les ménages modestes nous permettent d’expérimenter ce modèle économique innovant. Dans ce but, nous nous implantons, tout d'abord, dans les quartiers populaires par le biais du projet n°9 du budget participatif de la Ville de Paris intitulé "#ReFabriquonsAParis" qui est en phase d'étude pour la réalisation.

 

Pour 2018,  le projet Un low tech lab des quartiers 



 

Après le succès du Projet n° 9 #RefabriquonsÀParis Quand le réemploi recrée de l’emploi, les low technologies permettent d'inventer des produits utiles au plus grand nombre et peu cher. Leur consommation en énergie est modique car elles privilégient les matériaux de récupération. Il s'agit de cuiseur domestique économe, de potager, d'une lumière produite sans gaz ni électricité, de l'increvable, la machine à laver qui dure 50 ans, d'un aquarium sans filtre, d'un système de réfrigération sans énergie....Fait suite à 

#ReFabriquonsAParis

Quand le réemploi recrée de l’emploi
 

Faciliter  l’aptitude à coopérer à des process de développement



vendredi 20 mai 2016

Sympa les Maker faire à la Foire de Paris.








 C'était sympa de retrouver  les Maker faire à la Foire de Paris !

Mes débuts parmi des hakers hors pair, inventeurs de robots, de drones, d'imprimantes 3D, des jeux électroniques, des constructions mécaniques, du bricolage. Des stylistes de vêtement conçus pour assurer la sécurité de celui qui les porte.....Et plein de sourires.

Afin de mieux connaître l'opinion du public sur le projet d'un Paris solidaires, j'ai proposé aux visiteurs de donner leur avis en écrivant, en dessinant ou en faisant des collages pour exprimer l'idée qu'ils se font d'une capitale au service de la solidarité.

Le résultat de mon enquête :

En matière de solidarité, les personnes sont intéressées par leur environnement proche. Cependant, les banlieusards déplorent l'indifférence de Paris à leur égard. Il semble que le vivre ensemble et le bien-être soient des préoccupations majeures.
Les enfants ont dessiné des animaux oiseaux, lapins, escargots, insectes...) ainsi que des fleurs et des arbres. La nature est donc une composante de la solidarité.
Les habitants des villes limitrophes ont souligné la mauvaise qualité de l'air. Un provincial parla de l'inconfort des transports en commun. Il semblerait que les liens entre la capitale et les régions soient mal perçus par la population. Paris est , néanmoins, une belle ville et beaucoup ont fait des coeurs en notant « J'aime Paris ». la seine fut doté de bateaux en papier plié donc bon voyage dans les quartiers les plus appréciés c'est-à-dire, le quartier chinois du 13ème arrdt, Ménilmontant et Buttes-Chaumont dans le 19ème arrdt. Bref, les quartiers populaires !

vendredi 29 avril 2016

Maker Faire : d’Arduino à Zigbee pour la Foire de Paris

maker-faire-paris


Pour la deuxième année consécutive, il y a un « événement dans l’événement » : la Maker Faire, qui se déroule ce week-end.
C’est la troisième halte dans la capitale pour cet événement itinérant né en 2006 aux États-Unis sous l’impulsion de Dale Dougherty, cofondateur du magazine Make.
La première édition sur le sol français avait eu lieu en 2014 à Saint-Malo. Cette saison, Lille et Nantes rejoignent la boucle.

En savoir plus sur http://www.itespresso.fr/maker-faire-arduino-zigbee-foire-paris-127973.html#M2HsOeKUp2ZdsibV.99

samedi 26 mars 2016

La chaine de financement de l’innovation n’est pas prête à générer un Facebook français …

    
par Jean-David CHAMBOREDON,
Président-Exécutif, ISAI Gestion


Avec l’entrée en Bourse de Facebook, et sa capitalisation supérieure à $100bn, une question est sur toutes les lèvres : « à quand un Facebook français ? ». La réponse est simple: ce n’est pas pour demain, voire même jamais si nous ne créons pas vite un écosystème favorable.
En ce jour important qui voit Facebook entrer en bourse avec une capitalisation boursière supérieure à $100bn, les questions de journalistes et les « tweets » pullulent sur le thème « à quand un Facebook français ? ».
La réponse courte est simple : « Cela n’est pas pour bientôt et peut-être cela ne sera jamais si nous ne construisons pas patiemment et continument un écosystème et une chaîne de financement pérenne le permettant ».
Avant de revenir de façon un peu détaillée sur notre chaîne de financement de l’innovation et du numérique en particulier, prenons un peu de recul et regardons le bilan des quinze dernières années :
Pour en savoir plus

lundi 15 février 2016

La moitié des actifs mondiaux au chômage !


La "révolution de l'intelligence artificielle" n'opposera pas les capacités physiques des machines et des homme mais bien l'esprit de l'Homme à l'intelligence des robots.

Selon un scientifique en informatique Moshe Vardi, les ordinateurs étant de plus en plus compétents, ils remplaceront l'homme dans les tâches quotidiennes et au travail. Ce dernier perdra son statut social de travailleur et son utilité sera remis en question. A moins qu'il n'anticipe ces changements car la moitié de l'humanité en âge de travailler connaîtra, au cours des trente prochaines années, un chômage durable.
Lire la suite :http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/l-intelligence-artificielle-pourrait-mettre-50-de-l-humanite-au-chomage_1763475.html#comments