Soyons précis. Il s’agit de postes en indépendant, où les lauréat(e)s devront, pour gagner de l’argent, vendre les bijoux de la marque lors de rendez-vous chez la cliente intéressée, qui elle-même aura convié des copines. Une sorte de réunion Tupperware, le glam en plus tout de même. Chez Stella & Dot, on vend bijoux et sacs à main en cuir et on devient « stylist » (prononcez staïliste, ça passera bien devant le recruteur). La « stylist » vend, mais elle joue aussi le rôle de conseillère mode, avec des astuces look, sur la morphologie, les associations vêtements/bijoux, etc., distillés autour d’un verre. Pas de panique, la marque prévoit des « coachs » qui assistent la recrue avant et pendant les premières réunions, et restent disponibles après.
De 500 à… 4 000 euros par mois ?
Le nerf de la guerre maintenant : la « staïliste » peut espérer gagner 500 à 800 euros par mois, selon le nombre de réunions, selon le nombre d’invitées. Les bijoux sont vendus entre 20 et 300 euros et la marque octroie une commission de 23 à 35 %, selon le volume de vente. Certaines « top stylists » perçoivent jusqu’à 4 000 euros par mois, nous a-t-on assuré. Chiffres que nous n’avons pas pu vérifier.
Le concept cartonne aux États-Unis
On le comprend, aucun revenu n’est garanti. Autre point important : pour commencer, la vendeuse-conseillère devra acheter un « kit de démarrage », d’une valeur de 180 euros. Il comprend : des bijoux, des plaquettes, présentoirs et autres accessoires de communication. Seule certitude, la marque est connue et a bonne réputation (le concept cartonne aux États-Unis !). En France, Stella and Dot compte 1 200 « stylists ».
Recrutement Stella & Dot, ce jeudi 19 de 16 h 30 à 18 h et de 20 h 30 à 21 h 30, au Basilic Café, 24 bis rue Esquermoise. Ouvert à tous.
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